La résilience, ce mot issu de la physique, et popularisé par Boris Cyrulnik comme signifiant la capacité à surmonter un traumatisme, est un formidable message d’espoir. L’idée de pouvoir renaitre de sa souffrance, se relever du pire, rebondir, reprendre vie à partir de sa propre force vitale, permet de résister et continuer à avancer.

 

Les arbres, une leçon de résilience

• Les arbres illustrent de façon éclatante cette capacité de résilience et nous donnent une vraie leçon.
  Qui n’a jamais vu d’arbres très abimés, à qui on n’aurait pas donné une chance de survie, se reconstituer et revivre de plus belle ? La force inouïe du végétal…

   

• Mais si un arbre a un pouvoir de régénération hors du commun, c’est bien le tilleul! Il est capable de rétablir sa tête emportée par une tempête, malgré la tendresse de son bois. Cette capacité de régénération phénoménale, nous la vivons depuis toujours dans le domaine familial de Dordogne, où vivent plus de cent tilleuls de quasiment deux siècles.

   

• Régulièrement, ils subissent les assauts des tempêtes, des bourrasques de vent violents, des coups de foudre… Parfois, leur cime tombe, ou leurs énormes branches sont arrachées, et parfois même l’arbre est littéralement coupé en deux.
  
  

Nous leur avons toujours laissé une deuxième chance, et les générations avant nous aussi. Et quel que soit leur état de détérioration, ils forment au fil des années des bourrelets cicatriciels pour panser leurs plaies. C’est fascinant de voir ces bourrelets de recouvrement, formés par le cambium, qui petit à petit vont de l’extérieur vers le centre pour reconstituer une nouvelle écorce, qui va protéger la vie interne du tilleul. Plusieurs d’entre eux sont creux mais vivants, ce n’est pas du bois mort, et des interactions se forment avec l’eau, les animaux ou des champignons.

Il arrive même que l’arbre soit décapité et ancré au sol par seulement un quart de son diamètre, autant dire par un fil, un moignon. Et là, ils montrent une farouche envie de vivre, refont des branches, repartent vers le ciel, et produisent à nouveau feuilles et fleurs.

Dans la famille, nous les appelons » les gueules cassées » (référence aux poilus défigurés pendant la 1^ère guerre mondiale). Des survivants, véritables phœnix qui forcent notre admiration et nous émerveillent… en les voyant, on comprend tout de suite que la résilience n’est pas un vain mot !

C’est en voyant cet incroyable pouvoir de régénération du tilleul que nous avons fait de longues recherches pour tenter de le déployer sur la peau.

 

La résilience naturelle de la peau

• La peau, elle aussi, a des capacités de régénération naturelles.

Résiliente, elle l’est, et travaille toute la nuit à se renouveler pour se réparer des stress de la vie quotidienne. C’est là qu’elle recharge ses batteries :  les cellules commencent à se renouveler vers 23h, atteignent le pic du renouvellement vers 1 heure du matin, où il est alors 3 fois plus important que la journée. C’est le sommet de la régénération cutanée, les cellules mortes sont remplacées par de nouvelles cellules. La microcirculation s’active, la peau se répare et renforce sa barrière de protection.

Cela, c’est quand elle est jeune, car sa capacité d’adaptation est alors optimale : bien structurée, élastique, protégée par une barrière solide, elle résiste aux stress.

• A partir de 30 ans, au fil des années et des agressions répétées (stress, tabac, rayons UV, mauvaise alimentation, manque de sommeil, changements de saison…), elle perd de sa résilience et ne fait plus face (savez-vous d’ailleurs que 80% au moins des signes de vieillissement sont liés au style de vie ?). La peau devient alors moins douce, plus sèche et terne, elle se relâche et se marque.

Il faut donc à la fois stimuler le renouvellement cellulaire et en même temps protéger les fibres de soutien, collagène et élastine.

 

La résilience, du tilleul à la peau

• C’est cette action bienfaitrice que l’on retrouve dans les molécules du tilleul, dont on a fait la cartographie pour la première au fois au monde. On a ainsi pu, pour la première fois également, les concentrer dans notre actif exclusif, le Tiliactiv4®, grâce à la biotechnologie.

Plus de 2 ans de Recherche & Développement pour le mettre au point en reconstituant toute l’activité de l’arbre, le totum, grâce à l’association de ses bourgeons, feuilles, fleurs et rameaux, récoltés dans le parc du domaine de Dordogne.

• Le Tiliactiv4® restructure et régénère les couches de la peau, freinant ainsi la formation et le creusement des rides. Il protège le volume de la peau et ses propriétés biomécaniques comme l’élasticité, la souplesse et la flexibilité.

L’inflammation et le stress oxydatif sont étroitement liés : les cellules inflammées produisent des radicaux libres, responsables d’un stress oxydatif, et celui ci provoque l’inflammation, facteur majeur du vieillissement cutané. Il faut donc agir en même temps sur ces 2 mécanismes.

C’est ce que font les molécules du tilleul qui associent pouvoirs anti-oxydant et anti-inflammatoire, en plus de leur action régénérante. Elles permettent ainsi de redonner à la peau un potentiel de résilience optimal.

• Le pouvoir régénérant hors norme du tilleul se déploie sur la peau dans des formules naturelles, vegan et ultra sensorielles qui apaisent, hydratent et freinent le vieillissement de la peau.

Une efficacité objectivée scientifiquement, les tests montrant une diminution significative des radicaux libres et de l’inflammation. La matrice extracellulaire est protégée, la prolifération des fibroblastes stimulée, leur dégradation freinée, la barrière cutanée renforcée, la peau hydratée et lissée…

Une peau résiliente, à l’image du tilleul, capable de s’adapter et se régénérer pour résister aux agressions.

 

"Le tilleul dans la peau…" ou quand le premier transmet à la seconde toute sa force vitale pour plus de beauté...